En partenariat avec l’ADI, l’IFPImm, l’IEIF et Sarment, nous ferons dialoguer investisseurs, utilisateurs et financeurs.

L’immobilier représente 40 % des émissions de gaz à effet de serre. L’eau, les sols, la biodiversité ne sont pas (encore) considérés comme des actifs. Le risque lié au changement climatique n’est pas (suffisamment) intégré. Le parc est obsolète. Des capitaux doivent être massivement investis. Malgré cela, à horizon 2030 la demande projetée en bureaux bas carbone par rapport au pipeline de développement sont fortement déséquilibrés (gap de 50 à 70 % selon les marchés).

Au programme, engager une démarche commune pour passer du « pourquoi » au « comment » :

80 % du parc de 2050 est déjà là, il faut se concentrer sur le patrimoine existant. Si nous savons comment « techniquement » améliorer la performance carbone et ESG des immeubles, se pose plus opérationnellement la question du comment : quels baux ? quels financements ? quelles innovations juridiques ? quelle répartition des investissements et responsabilités ?

Les business plans sont chahutés par l’évolution rapide de la réglementation, des besoins des utilisateurs finaux, par des locataires exigeants et par une concurrence féroce. Les clients et utilisateurs finaux pensent expérience, flexibilité et paiement à l’utilisation. Il faut marcher sur nos deux jambes : décarboner c’est bien, intensifier l’usage c’est mieux ! Au-delà du bail, comment penser relation client et intensité d’usage ?