Economie : En juin 2020, le FMI revoit à la baisse ses projections pour l’année en cours, du fait d’une reprise plus progressive qu’attendu, et anticipe ainsi : une contraction du PIB de l’ordre de 8% en 2020 pour les pays avancés ainsi que le risque d’un sérieux creusement des inégalités. Dans le détail, les physionomies conjoncturelles des pays observés – Chine, Japon, Etats Unis, en Allemagne et Union européenne – sont assez différenciées.
Marchés immobiliers : Les répercussions de la crise sanitaire ne sont pas de même ampleur pour l’ensemble des classes d’actifs immobiliers. Commerce et Logistique ne ressortent pas indemnes de la période de confinement, et sont liées l’une a l’autre : en effet, si les difficultés du commerce physique persistent, elles impacteront nécessairement une partie du secteur logistique. Toutes deux ont en commun d’avoir de nouvelles perspectives de développement dans le monde post-Covid. Comment cela se traduit-il sur les marchés immobiliers ? Quelles opportunités futures pour les investisseurs ?
Industrie des véhicules immobiliers : Malgré le contexte de crise, l’attrait pour les fonds immobiliers non cotés est toujours très marqué, fin 2019 les encours totaux d’actifs immobiliers sous gestion représentent un volume de 3 238 milliards d’euros, en hausse de 16% par rapport à 2018. L’analyse des enquêtes menées par l’INREV sur le sujet permet d’appréhender d’une part les principales caractéristiques de ces véhicules et d’autre part les intentions des investisseurs institutionnels immobiliers pour l’année 2020.
Extrait de l’étude réalisée par Lina Mounir (Analyste Senior Pôle MarchéImmobiliers), réservée aux adhérents de l’IEIF.
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