Quelle place pour l’immobilier dans une allocation stratégique d’actifs ?
Retour sur 40 ans de performances comparées.
JEUDI 16 MAI 2019 | 8h30 – 10h00
Avec les interventions de :
A l’occasion de la sortie de l’édition 2019 de l’étude « 40 ans de performances comparées », l’IEIF vous convie à une nouvelle réunion adhérents pour analyser les performances des grandes catégories de placements à fin 2018.
Avec une année boursière particulièrement chahutée dans un contexte de fortes incertitudes économiques et de tensions géopolitiques accrues, l’immobilier coté a enregistré des performances fortement négatives : -18 % pour les SIIC en France et -15 % pour les REIT en Europe, selon les indices Euronext IEIF. Pour l’immobilier non coté, les performances en 2018 sont moins élevées que celles de l’année précédente : 4,9 % pour les SCPI, d’après l’indice Edhec IEIF Immobilier d’entreprise et 0,8 % pour les OPCI Grand Public d’après l’indice IEIF OPCI Grand public, avec dans les deux cas des niveaux de collecte particulièrement soutenus auprès des particuliers.
Côté produits d’épargne, les rendements continuent de se contracter, comme ceux des livrets bancaires ou de l’assurance vie en euros.
Concernant l’immobilier physique, les performances (total return) sont respectivement 14,0 % pour la Logistique-Locaux industriels, 6,4 % pour les bureaux et 3,5 % pour les commerces d’après MSCI.
Avec des taux d’intérêt toujours très attractifs, le résidentiel continue à voir ses valeurs vénales progresser fortement, notamment sur les zones les plus tendues : +6 % à Paris sur un an, + 7,5 % à Lyon et + 6 % à Lille.
Nous aborderons notamment les questions suivantes :
– Quels seront les meilleurs placements en termes de couple performance/volatilité en 2019 ?
– Quelle place pour l’immobilier par rapport aux autres types d’actifs ? Quels impacts des récentes évolutions dont réglementaires, fiscales, … ?
– Quels portefeuilles se sont révélés être les plus performants ?
– La répartition des actifs dans le patrimoine moyen des français est-elle optimale ?
– Les performances seront-elles davantage tirées par le rendement courant ou les potentiels de plus-values ?
Pour répondre à ces questions, Stéphanie Galiègue et Pierre Schoeffler pour l’IEIF et Philippe Taffin, Chief Investment Officer chez Aviva France, reviendront en détail sur les performances observées sur courte et longue période et vous feront part de leurs anticipations pour les années à venir.