Pour mieux comprendre les sous-jacents spécifiques des marchés résidentiels ainsi que le fonctionnement différencié des territoires urbains, l’IEIF mène depuis plusieurs années des travaux de recherche sur le logement, dont ceux qui ont abouti à la définition d’une typologie originale des grandes agglomérations françaises.

Ce référentiel initialement établi à partir du croisement de facteurs essentiellement socio-économiques a permis d’identifier des comportements homogènes de marché et des critères d’attractivité spécifiques à chaque famille.

Dans le contexte du changement climatique, et alors que les règlementations environnementales visant à atteindre la sobriété énergétique se renforcent, la nécessité de mesurer la capacité de résistance et d’adaptation des territoires, qui constitueront de nouveaux facteurs d’attractivité pour les ménages, a guidé cette nouvelle recherche qui suit plusieurs étapes avant d’aboutir à une typologie globale.

Elle permet de distinguer des trajectoires de prix cohérentes et de positionner notre panel de 50 entités urbaines les unes par rapport aux autres à travers un concept d’attractivité enrichi.

Extrait de l’étude réalisée par Gilbert Emont (Senior Advisor, IEIF) et Soazig Dumont (Analyste Senior, Pôle Marchés immobiliers), réservée aux adhérents de l’IEIF.
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