PRESSE

L’IEIF dans la presse

Utiliser le Plan d’épargne en actions (PEA) pour sa (lointaine) retraite n’est pas la stratégie de placement qui vient spontanément à l’esprit. « L’association des deux n’est pas évidente, mais cela fonctionne de façon très efficace », assure Gauthier Haem, directeur du développement de Yomoni. Lancée en 1992, cette enveloppe a été créée pour encourager les épargnants à soutenir les entreprises françaises et européennes. Toutefois, ces titres sont volatils à court terme et offrent un risque élevé de perte en capital. Or cet objectif est à l’opposé d’une épargne dédiée à la retraite. Pourtant, sur une période longue, les actions offrent des rémunérations substantielles qui les classent dans le Top 3 des placements qui rapportent le plus . C’est le cas sur cinq, quinze, trente et quarante ans, d’après la dernière étude de l’IEIF intitulée « Quarante ans de performances comparées : 1983-2023 ».

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Des rendements attractifs : Historiquement, les actions offrent des rendements supérieurs à ceux de l’immobilier sur le long terme. Selon les dernières données de l’IEIF, les marchés actions ont généré en moyenne un rendement annuel de près de 10% entre 2008 et 2023, même en tenant compte des périodes de crise.

Réservées à un public averti et proposées avec parcimonie par les assureurs dans le cadre des contrats d’assurance-vie multisupports, les foncières cotées ont subi d’importantes dévalorisations en 2020 (conséquence du confinement) et 2022 (hausse des taux). Elles ont néanmoins maintes fois prouvé leur capacité de résistance (leur taux de rendement interne moyen s’établit à 1,67 % entre 2013 et 2023, selon l’Institut de l’épargne immobilière et foncière) et pourraient « renouer avec un cycle plus porteur dans les prochains mois », anticipe Hugo Benoit, dirigeant de Cap Atlantique Patrimoine.

L’achat de parts en SCPI permet d’investir son épargne ou ses bénéfices dans la pierre, c’est-à-dire dans une valeur souvent perçue par les Français comme sûre et pérenne. Offrant un bon rapport rendement/risque, ce placement fournit des revenus réguliers avec une rentabilité intéressante s’élevant en moyenne à 4,52 % d’après l’IEIF, l’institut de l’épargne immobilière et foncière. Un investissement réfléchi et raisonné peut être un bon moyen de préparer sa retraite ou de construire des bases financières solides.

Hexagone calcule ainsi que 3 millions de résidences principales pourraient être « libérées » durant les dix années à venir. Une somme ! Lina Mounir, responsable du pôle marché immobilier à l’IEIF, l’Institut de l’épargne immobilière et foncière, pense même que ce chiffre est sous-évalué et table plutôt sur 4,2 millions.

La salle de 200 places était pleine à craquer. Preuve que le sujet passionne les professionnels venus assister à la conférence « L’immobilier au défi de l’inflation, de la hausse des taux et du changement climatique », organisée par l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF) lors du Salon de l’immobilier d’entreprise (Simi) à Paris le 8 décembre. Le public l’aura compris : cette année, il faut tout changer.

Pourtant, en mars dernier, l’Etat, la Caisse des Dépôts et quatorze assureurs ont accouché d’un milliard d’euros pour financer la construction de 10.000 logements intermédiaires. « Les investisseurs institutionnels se moquent du monde : leur allocation d’actif au logement pèse moins de 2% de leurs investissements et ne représente que 2% du parc de logements locatifs privés », s’agace Xavier Lépine, président de l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF) et président de Paris Capitale Economique (PCE), lobby qui promeut la région à l’international.

   (…) On le sait toutefois, les actions ont beau faire le yoyo depuis des années (+ 26,4 % pour le CAC 40 en 2019, -7,1 % en 2020, +28,9 % en 2021 -9,5 % en 2022, +16,5 % en 2023), elles sont synonymes de performances dans la durée : +12,4 % de taux de rentabilité interne moyenne pour les actions entre 1983 et 2023 contre 3,5 % pour les livrets*.

* Edition 2024 de l’étude de l’IEIF (institut de l’épargne immobilière et foncière), « 40 ans de performances comparées – 1983-2023 »

  (…) D’autres bonnes nouvelles, qui vont dans le sens d’un crédit toujours moins cher, attendent les emprunteurs. Tout d’abord la crise politique française bénéficie d’un moment de répit depuis l’annonce le 5 septembre de la nomination de Michel Barnier comme Premier ministre. « Le marché des emprunts d’Etat sanctionne le risque politique », rappelle Pierre Schoeffler, senior advisor de l’IEIF au cours d’un point conjoncture économique et immobilier organisé par l’IEIF le 10 septembre. Cette nomination devrait, selon lui, avoir un effet stabilisateur quant à la prime de risque de crédit sur les emprunts d’Etat [la prime de risque constitue la différence de rendement entre un placement sûr comme les emprunts d’Etat et un autre, jugé plus risqué comme une action. Elle représente en quelque sorte la rémunération du risque pris par l’investisseur, NDLR].

Les autres indicateurs macroéconomiques ne semblent pas non plus prévoir un rebond immédiat. Stéphanie Galiègue, directrice des études et recherche à l’institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF), analyse : ‘les foncières cotées sont sensibles à l’inflation, à la croissance et aux taux directeurs. Tous ces indicateurs sont pour l’instant atones’.

En Bourse, les actions des sociétés foncières sont bien loin des records historiques qu’aligne le CAC 40. Considérons l’indice sectoriel Euronext IEIF REIT Europe: il n’a pris que 1,6% depuis le début de l’année et reste éloigné de ses records.

Un épargnant ayant placé son argent lors des 40 dernières années sur les actions françaises a réussi un meilleur investissement que sur l’immobilier ou le livret A, selon une étude publiée fin avril par l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (Ieif).

En effet, entre 1983 et 2023, l’argent placé sur les entreprises cotées en France a rapporté en moyenne 12,4% par an, en prenant en compte le réinvestissement des dividendes versés. Un niveau supérieur à l’investissement dans un logement à Paris (10,4% par an), d’autres placements immobiliers comme les SCPI (7,9%), l’assurance-vie (6,5%), les obligations de l’État français (4,1%) ou encore le livret A (3,5%). Les performances sont calculées hors frais de gestion, selon la méthodologie de l’étude.

Le contexte financier de ces 40 années « est marqué par un environnement de baisse de l’inflation » qui ont ramené les taux d’intérêt très bas et avec de la croissance économique, une période favorable aux actions, a expliqué à l’AFP Stéphanie Galiègue, directrice générale déléguée chargée des études de l’Ieif.

Une vacance qui va encore augmenter dans la région-capitale, selon le directeur général de l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF). « Du fait du vieillissement de la population, la part des nouveaux actifs qui occupe des bureaux est en train de diminuer, alors même que sur la décennie 2010-2020 on a créé 44 m² de bureaux par nouvel emploi contre 23 m² dans les années 2000 », relève Christian de Kerangal.

Entre 1983 et 2023, l’argent placé sur les entreprises cotées en France a rapporté en moyenne 12,4 % par an, en prenant en compte le réinvestissement des dividendes versés, selon l’étude annuelle de l’IEIF. Elle a pris comme référence l’indice CAC All Tradable, qui comprend, en 2024, 203 des plus grosses entreprises cotées en France, dont celles du CAC 40.

Comme chaque année, l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF) publie son étude sur les performances comparées des placements sur les quatre dernières décennies, de 1983 à 2023. L’objectif est de mettre en perspective le bien-fondé de l’investissement dans l’immobilier (logements, immobilier d’entreprise et pierre papier) par rapport aux autres classes d’actifs privilégiées par les épargnants (assurance-vie, or, monétaire, livret A, obligations) et d’en mesurer sa volatilité et ses risques.

Avec un rendement moyen de 12,4% par an, l’argent placé dans des entreprises cotées a plus rapporté entre 1983 et 2023 que l’immobilier, l’assurance-vie ou encore les obligations d’État.

Un épargnant ayant placé son argent lors des 40 dernières années sur les actions françaises a réussi un meilleur investissement que sur l’immobilier ou le livret A, selon une étude publiée jeudi par l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF).

Les actions restent le meilleur placement sur les quarante dernières années en France. C’est le constat que dresse une étude publiée ce jeudi par l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (Ieif) et selon laquelle un épargnant ayant placé son argent sur les actions françaises sur cette période a réussi un meilleur investissement que sur l’immobilier ou le livret A.

Entre 1983 et 2023, l’argent placé sur les entreprises cotées en France a rapporté en moyenne 12,4% par an, en prenant en compte le réinvestissement des dividendes versés, selon l’étude annuelle de l’IEIF. Elle a pris comme référence l’indice CAC All Tradable, qui comprend, en 2024, 203 des plus grosses entreprises cotées en France, dont celles du CAC 40.

Entre 1983 et 2023, l’argent placé sur les entreprises cotées en France a rapporté en moyenne 12,4% par an, d’après l’étude publiée ce jeudi par l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (Ieif).

«Ai-je misé sur le bon cheval ?» La question taraude tout épargnant lorsqu’il choisit de placer son argent ou bien de le laisser dormir sur un compte ou un livret d’épargne. D’autant plus que l’incertitude se renforce à mesure que les années passent et les cours et rendements évoluent. La dernière étude de l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF), en comparant les gains annuels moyens des différents placements de 1983 à 2023, permet d’y répondre.

Quel est le meilleur placement à long terme ? Pour les 40 prochaines années, personne ne peut le deviner dans le marc de café ! En revanche, un coup d’œil dans le rétroviseur reste toujours instructif. Résultat : un épargnant ayant placé son argent lors des 40 dernières années sur les actions françaises a réussi un meilleur investissement que sur l’immobilier ou le livret A, selon une étude publiée jeudi par l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF), un centre d’études qui assume donc son prisme immobilier.

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Assurance vie, actions, immobilier, or… Lequel de ces placements est le plus rentable sur la durée ? C’est à cette question que répond, ce jeudi 25 avril, l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF), dans son étude «40 ans de performances comparées, 1983-2023».

Cette publication annuelle compare plus précisément les taux de rendement interne (TRI) – pour résumer, la performance annualisée – des différents placements sur plusieurs durées d’investissement : 5 ans (2018-2023), 15 ans (2008-2023), 30 ans (1993-2023) et 40 ans (1983-2023). Et quelle que soit la période observée, ce sont encore les actifs risqués, actions en tête, qui trustent les premières places. Loin devant les livrets d’épargne et les contrats d’assurance vie, dont les Français sont toujours aussi friands.

Comme chaque année, l’IEIF a calculé quels étaient les actifs les plus rémunérateurs sur quarante ans. Sans surprise, les placements en Bourse arrivent en tête, avec une hausse moyenne annualisée de 10,4 % entre 1983 et 2023. L’immobilier présente au cours de cette période des performances comprises entre 8 % et 10 % qu’il s’agisse notament des SCPI (Sociétés civiles de placement immobilier) ou des OPCI (Organismes de Placement Collectif Immobilier) , tandis que l’assurance-vie a progressé en moyenne annuelle de 6,5 %. Et si l’ensemble des placements surperforment l’inflation, l’or n’a rapporté que 3,2 % en moyenne chaque année. Il fait pire que le Livret A qui affiche un taux de rendement moyen annualisé de 3,5 %.

En atteste la nouvelle édition 2024 du classement des placements sur longue période de l’institut de l’épargne immobilière & foncière (IEIF). Dans cette étude intitulée « 40 ans de performances : quels enseignements retenir des précédentes périodes de crise ? », l’IEIF mesure entre 1983 et 2023 le taux de rendement interne (TRI) des différentes catégories d’actifs en tenant compte à la fois des revenus et de la plus-value générée. L’enquête recouvre 4 décennies, marquées par quatre crises économiques d’ampleur : krach obligataire et boursier d’octobre 1987, éclatement de la bulle internet au début des années 2000, crise des subprimes en 2008 et choc brutal sur l’économie mondiale à partir de 2020 avec l’irruption de la pandémie.

Malgré les anticipations de baisse des taux, les actions des foncières SIIC sont à la traîne depuis le début de 2024: l’indice sectoriel régional Euronext IEIF REIT Europe recule depuis lors de 6 % et sous-performe ainsi l’EuroStoxx 50 de près de 19 points de pourcentage! Selon Goldman Sachs, cette sanction jugée excessive «constitue une bonne occasion»de se renforcer, avec sélectivité.

(…) Résultat, après un record enregistré en 2022, la collecte nette a reculé de 44 % en 2023, pour chuter à 5,7 milliards d’euros. L’IEIF souligne également que l’an dernier, sur les 116 SCPI analysées, 32 ont vu le prix de leur part baisser. « Les SCPI qui avaient recours au crédit pour acheter des immeubles ont été très affectées par la remontée des taux d’intérêt », commentent les auteurs de l’étude.

(…) Cette diversification entraîne des différences dans les taux de distribution des SCPI. Le taux de distribution moyen des SCPI d’immobilier d’entreprise est stable, à 4,52 % en 2023. Toutefois, « cette moyenne cache de fortes disparités entre les véhicules : le taux de distribution le plus faible est de 0,95 % et le plus élevé est de 8,16 % », pointe l’IEIF.

Une annus horribilis. C’est ainsi que l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF) qualifie l’année 2023 pour les sociétés civiles de placement immobilier (SCPI), dans l’étude qui leur est consacrée, publiée mi-mars. Ces dernières ont, en effet, évolué dans un environnement particulièrement défavorable.

L’une des mesures les plus efficaces serait d’élargir le prêt à taux zéro (PTZ) à l’ancien, mais son coût pour les finances publiques serait rédhibitoire. Pourtant, le temps presse. « Nous sommes passés d’un immobilier qui a réduit les inégalités à un immobilier qui les augmente », regrette Xavier Lépine, président de l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEF). Un vrai cri d’alarme.

CapitalLes détenteurs de parts de sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) doivent-ils s’alarmer ? Si la performance de la pierre papier a été au rendez-vous en 2023 – 4,52% de taux de distribution, selon l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF) -, sa liquidité inquiète. Certes, il faut rappeler que l’achat de parts de SCPI est un investissement par nature illiquide, puisqu’il est conseillé de conserver ces dernières pour au moins 8 à 10 ans. Néanmoins, si vous avez besoin de récupérer votre mise avant ce délai, l’opération pourrait s’avérer bien plus compliquée que par le passé.

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A l’image des SCPI, qui affichent 8,3% de performance par an en moyenne sur les 40 dernières années, ou encore des actions, qui reste la classe d’actifs la plus rentable sur cette durée, avec 15,1% de performance annuelle en moyenne, selon l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF).

café de la bourseEn effet, les actions en Bourse sont la classe d’actifs la plus performantes à (très) long terme. Elles rapportent environ 15 % par an sur 40 ans selon une étude de l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF) à fin 2022.

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« On a assisté à une véritable séparation de la ville. Les quartiers d’affaires, les cités dortoirs et les lieux culturels situés à plus de 45 minutes du domicile ne sont pas propices à la santé mentale des habitants. C’est pourquoi la ville du quart d’heure, au-delà de sa praticité, est plus bénéfique pour la santé », indique Anne Sénéquier, chercheuse et co-directrice de l’observatoire de la santé mondiale de l’Institut des relations internationales et stratégiques (Iris) lors de la matinée prospective de l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF) le 23/01/2024.

Rentrée sur les chapeaux de roue pour la pierre papier ! L’Aspim et l’IEIF ont publié ce 1er septembre les chiffres de collecte et de performance semestriels des fonds immobiliers non cotés.

Une récente étude de l’Institut de l’Epargne Immobilière et Foncière (IEIF) en donne une illustration extrême. Après 40 ans d’investissement (de 1982 à 2022), le taux de rendement interne des actions dépasse en effet nettement celui de toutes les autres classes d’actifs (15,1 % pour les actions, contre 11,5 % pour les foncières qui arrivent en 2e position).

(…) Face à lui, plusieurs centaines de professionnels, assis pour les plus chanceux, écoutent attentivement la très attendue conférence de l’Institut de l’Epargne Immobilière et Foncière (IEIF) sur le conjoncture internationale et les stratégies des investisseurs institutionnels, organisé à chaque salon de l’immobilier d’entreprise (Simi), qui a lieu cette année du 12 au 14 décembre à Paris.

(…) Pour Gilbert Emont, coauteur du livre « Habiter la France urbaine » et spécialiste du logement à l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF). « Il y a, certes, un mouvement général de métropolisation à prendre en compte. Mais à quoi sert de construire davantage, si ce n’est pour remplacer le parc impropre à répondre aux exigences de la transition climatique. » Participant à seulement 1 % du renouvellement du parc immobilier par an, la construction neuve ne serait pas le noeud du problème.

(…) « Cela permet d’avoir une idée du revenu distribué et de la plus – ou moins – value potentielle du patrimoine détenu par la SCPI », explique Stéphanie Galiègue, Directrice générale adjointe chargée de la recherche et des études à l’Institut de l’Epargne Immobilière et Foncière (IEIF).

(…) Quels sont les nouveaux modèles de croissance qui émanent des différentes crises que l’industrie immobilière connaît actuellement ? Au colloque 2023 de l’IEIF, des panélistes pluridisciplinaires ont tenter de trouver des pistes de réponse permettant d’accompagner la transformation de l’industrie immobilière. Manifestement, beaucoup reste à faire…

(…) Ce thème a été présenté par Gilbert Emont (chercheur à l’institut de l’Epargne immobilière et foncière, directeur de l’Institut Palladio sur l’immobilier et la cité). Il a servi de fil rouge aux séances de travaux et échanges mardi et mercredi à la salle des fêtes Raymond Hanin.

(…) Selon la directrice générale déléguée en charge de la recherche et des études à l’IEIF Stéphanie Galiègue ; l’indicateur du taux de vacance, mesurant le pourcentage de bureaux vides à louer, a bondi de 20,5%. Contre cette désertion, des projets voient le jour, notamment grâce à l’installation de divers services et écoles, afin de redynamiser la zone.

(…) Selon une récente étude publiée par l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF) sur trente ans (1992-2022) et quarante ans (1982-2022), les actions font mieux que beaucoup d’autres placements. Elles affichent un taux de rendement interne de respectivement 8,91 % et 14,73 % par an.

(…) À Paris, où les prix ont beaucoup monté ces dernières années, ces baisses pourraient ­atteindre au moins 15 % à 20 %

Christian de Kerangal, directeur ­général de l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF)

«Je ne vois pas comment l’on peut éviter une correction plus significative encore des prix», confirme Christian de Kerangal, directeur général de l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF). Celle-ci reste toutefois difficile à chiffrer précisément. «Une baisse des prix d’au moins 10 % en France est probable au cours des deux, trois prochaines années, avec de fortes variations selon les villes. À Paris, où les prix ont beaucoup monté ces dernières années, ces baisses pourraient atteindre au moins 15 % à 20 %», poursuit Christian de Kerangal.

(…) Et pourtant, sur le long terme, les placements en actions affichent un rendement annuel de près de 15%, selon les statistiques de l’IEIF (Institut de l’Épargne Immobilière et Foncière) qui mesure, chaque année, la performance des investissements. «Si vous aviez acheté des actions françaises en 1981 et si vous étiez resté investi (dividendes compris) sur une période de quarante ans (1981-2021), vos placements vous auraient rapporté 14,7% par an», détaillent ses experts. C’est mieux que l’immobilier, le livret A ou même l’or.

(…) D’après l’édition 2023 de l’étude « 40 ans de performances comparées (1982-2022) » réalisée par l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF), le placement en actions bat sur le long terme tous les autres à plates coutures, servant un taux de rendement interne supérieur à 10 %.

L’indicateur du taux de vacance, qui mesure le pourcentage de bureaux vides à louer, a bondi de 20,5% selon Stéphanie Galiègue, directrice générale déléguée en charge de la recherche et des études à l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF). Et ce, « alors qu’il n’est que de 2,5 % pour Paris QCA, le très coté quartier central des affaires intra-muros, et s’établit à 7,2 % à l’échelle de toute l’Ile-de-France. »

D’après l’édition 2023 de l’étude « 40 ans de performances comparées (1982-2022) » réalisée par l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF), le placement en actions bat sur le long terme tous les autres à plates coutures, servant un taux de rendement interne supérieur à 10 %.

(…) « Penser aujourd’hui que les entreprises vont toujours être capables de payer des loyers plus élevés car indexés sur l’inflation n’est pas une évidence », renchérit Xavier Lépine, président de l’Institut de l’épargne immobilière et foncière.

 « La hausse des rachats a entraîné un recul des souscriptions nettes », indiquent l’Association française des sociétés de placement immobilier (Aspim) et l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF), qui publient ces données. Dans son rapport sur la cartographie des risques publié début juillet, l’Autorité des marchés financiers (AMF) a appelé à une vigilance renforcée sur les fonds exposés à l’immobilier commercial. Les bureaux sont particulièrement à risque, alors qu’hôtellerie, santé et commerce se tiennent mieux.

L’IEIF  estime chaque année les rendements de différentes familles de placement sur plusieurs décennies. Dans sa dernière édition (1982-2022), l’immobilier et les actions ressortent une nouvelle fois comme les investissements les plus rentables à très long terme, malgré les soubresauts des marchés.

« Nous sommes entrés dans une crise structurelle qui est la conséquence de quarante années de politique du logement qui n’a fait que creuser les inégalités au lieu de les réduire », a notamment alerté Xavier Lépine, président de l’Institut de l’Épargne immobilière et foncière (IEIF), dans une interview accordée à La Tribune.

Dans l’immobilier, des taux trop élevés découragent les acheteurs, car les mensualités atteignent des sommets. La barre des 4% a déjà été franchie par certaines banques. Mais, d’un autre côté, les vendeurs ne sont pas prompts à baisser leur prix, préférant attendre de meilleurs lendemains. Résultat : le marché de l’immobilier est à la peine dans toute l’Europe et aux États-Unis, explique Pierre Schoeffler, conseiller à l’institut de l’épargne immobilière et foncière.

En 2022, les SCPI ont ainsi enregistré une collecte record de 10,2 milliards d’euros, selon l’Institut de l’Epargne Immobilière et Foncière (IEIF). Soit 37% de plus que l’année précédente. Un succès que les SCPI doit en grande partie à ses excellentes performances.

La lecture de la dernière étude de l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF) sur la rentabilité des principaux placements des Français sur des durées allant de cinq à quarante ans devrait pourtant inciter les investisseurs à changer de braquet. Ce panorama couvre quatre crises économiques majeures : le krach obligataire et boursier de 1987, l’éclatement de la bulle Internet des années 2000, la crise des subprimes de 2008 et la crise sanitaire de 2020. « Il intègre également pour 2022 les conséquences de la guerre en Ukraine », précise Stéphanie Galiègue, directrice générale déléguée de l’IEIF.

Au premier trimestre, la collecte nette des SCPI est restée positive s’établissant à 2,4 milliards d’euros, mais elle a chuté de 10 % par rapport à la même période de l’an dernier, selon les chiffres publiés mi-avril par l’Association française des sociétés civiles de placement immobilier (ASPIM) et l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF). Au premier trimestre, le taux de distribution moyen – terme désignant le rendement servi par les SCPI, toutes catégories confondues, s’est établi à 1,06 %, soit un niveau comparable à celui du premier trimestre 2022, selon le bilan des performances des fonds immobiliers grand public, publié le 17 mai par l’ASPIM et l’IEIF.

La spécialiste constate aussi une évolution dans les typologies d’investisseurs. Les investisseurs de long terme – assureurs et foncières français et fonds européens – se font plus rares. D’autant qu’en ce moment « les obligations assimilables du trésor (OAT) offrent un niveau de rendement proche de l’immobilier avec un niveau de risque inférieur », note Christian de Kerangal, le directeur général de l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF).

A condition d’être patient, les actions sont pourtant parmi les meilleurs placements qu’il soit, avec un taux de rendement interne (qui prend en compte la rentabilité du placement, mais aussi les frais, la fiscalité…) de 15,1 % sur quarante ans (1982-2022) et de 8,8 % sur trente ans, selon la dernière étude (avril) de l’Institut de l’épargne immobilière et foncière.

Capital“Certains gestionnaires accuseraient-ils le coup d’une mauvaise gestion conjuguée à une collecte trop élevée ?”, interroge France SCPI. Une question légitime, alors que les SCPI ont fait l’objet de versements record l’an passé, d’un montant de 10,1 milliards d’euros, selon l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF).

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“Par rapport à la crise précédente, les SCPI abordent celle-ci dans des conditions nettement plus favorables, avec un marché secondaire modernisé”, confirme l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF) en mars 2009, dans sa synthèse de l’année 2008.

Voilà qui explique sans doute l’autre grand succès de l’an dernier, à savoir celui de tous les produits de pierre-papier, comme les sociétés civiles de placement immobilier (SCPI). Ces dernières ont attiré 10,1 milliards d’euros en 2022, grâce à des performances très solides: un taux de distribution moyen de 4,53%, supérieur à celui des années précédentes, selon les données de l’Association française des sociétés de placement immobilier (Aspim) et de l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF), deux organismes qui font référence dans le secteur.

En effet, entre 2011 et 2021, les marchés actions ont affiché une performance annuelle de 12,4 % contre − 0,1 % pour les produits monétaires, d’après une étude publiée en 2022 par l’Institut de l’épargne immobilière et foncière. Néanmoins, les spécialistes recommandent de ne pas concentrer tous ses versements sur un seul support d’investissement, et de diversifier ses placements sur les différents fonds proposés par son employeur.

Jusqu’à quand allons-nous continuer à dire aux investisseurs qu’il n’y a pas de problème de valorisation [des immeubles tertiaires, NDLR] quand le plan de travaux de nos actifs dépend d’une réglementation que nous ne comprenons pas ? Le 14 février dernier, dans le cadre d’un débat organisé par la start-up Sitowie, Xavier Lépine, président de l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF) et ancien patron de La Française, société de gestion d’actifs, a mis les pieds dans le plat. Il faut dire que les résultats de l’enquête menée par la jeune pousse (voir ci-contre) ont de quoi inquiéter toute la chaîne de valeur de l’immobilier.

Les sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) ont enregistré des rendements stables, voire en légère hausse, en 2022. Le taux de distribution, indicateur qui permet de mesurer la rentabilité de ces fonds immobiliers sur l’année écoulée, s’est établi à 4,53 % en moyenne, contre 4,49 % en 2021, selon l’Aspim, l’Association française des sociétés de placement immobilier et de l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF).

Président de l’Institut de l’épargne immobilière et foncière, Xavier Lépine résume le défi financier : « Ce qu’on aurait pu faire lorsque l’argent était disponible, on ne l’a pas fait ».

Une étude de l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF) estimait que la mise en place de deux jours de télétravail dans 4 entreprises franciliennes sur 10 libérait 3,3 millions de mètres carrés.

Inflation ou pas, le placement en actions enregistre sur une longue durée des performances très compétitives par rapport à d’autres placements. Selon la dernière étude de l’Institut de l’Epargne immobilière et foncière (IEIF) sur les placements comparés sur une longue période (1981-2021), l’investissement en actions sur cinq ans occupe la deuxième place avec un taux de rentabilité interne (TRI) de 10,5 %, et arrive en tête sur dix ans à 10,4 %.

Deepki récupère de la donnée dans les systèmes d’information de ses clients, mais aussi auprès des fournisseurs d’énergie comme EDF, sur les compteurs présents dans les bâtiments, et sur Internet, en open data (climat, disposition du bâtiment, tissu de transports en commun présent autour). La publication de ce référentiel était soutenue, dès son lancement, par l’Institut de l’Epargne Immobilière et Foncière (IEF).

L’Institut de l’Epargne immobilière et foncière estimait qu’avec un scénario à deux jours de télétravail par semaine, 27 % de la surface de bureaux en Ile-deFrance pourrait être libérée, soit 3,3 millions de mètres carrés en moins.

Un vent mauvais serait-il en train de souffler sur la Défense, déstabilisant un marché de bureaux qui a déjà traversé des crises importantes par le passé ? Sans parler d’effondrement de ce puissant quartier d’affaires, quatrième dans le monde en termes d’attractivité, les étages d’open space qui s’empilent à la verticale sont sous pression… et de plus en plus désertés. En témoigne l’indicateur du taux de vacance, qui mesure le pourcentage de bureaux vides à louer. Dans le quartier, il a bondi à 20,5 %, « niveau pour ce secteur historiquement le plus élevé », s’émeut Stéphanie Galiègue, directrice générale déléguée en charge de la recherche et des études à l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF).

Les trois grandes catégories de fonds immobiliers accessibles au grand public, autrement dit les SCPI (sociétés civiles de placement immobilier), les OPCI (organismes de placement collectif immobilier) et les sociétés civiles (SC) ont enregistré une collecte nette de 16,1 milliards en 2022, soit un volume en hausse de 47 % sur un an, selon les statistiques annuelles publiées par l’Association française des sociétés de placement immobilier (Aspim) et l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF). Il s’agit d’une collecte record, le précédent datant de 2019 à 14,8 milliards d’euros, ont précisé les deux organismes.

café de la bourseInvestir dans l’immobilier peut également se faire via les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI). Il s’agit de produits financiers qui permettent d’investir dans l’immobilier en achetant des parts. Cela offre de nombreux avantages parmi lesquels l’absence de gestion locative assurée par la société de gestion. L’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF) estime à 4 % le rendement moyen des SCPI depuis 2018.

« Ce contexte est en train d’accentuer les disparités entre les différents sous-marchés, les quartiers centraux étant globalement plus résilients que ceux périphériques », observe le 25 janvier, lors d’une conférence, Stéphanie Galiègue, directrice générale déléguée en charge de la recherche et des études à l’IEIF (Institut de l’épargne immobilière et foncière).

Revers de la médaille : leur taux de rendement dépend à la fois de la rentabilité de leur poche immobilière, et de leurs performances financières. Comme, d’année en année, l’évolution boursière est erratique, les OPCI font le yoyo. A titre d’exemple, selon l’IEIF (Institut de l’épargne immobilière et foncière), ils ont rapporté 5,40 % en 2019, perdu 1,54 % en 2020, rapporté 4,40 % en 2021 et perdu 3,46 % en 2022.

La perte d’attractivité de la capitale et de sa région doit être relativisée. « La pression sur les prix y reste encore très forte, tempère Gilbert Emont, senior advisor à l’Institut de l’Epargne Immobilière et Foncière (IEF) au cours d’une conférence le 25 janvier sur les perspectives pour l’immobilier. Paris voit son attrait renforcé sur le plan international, notamment auprès des investisseurs et comparativement à Londres. »

Demande placée en forte baisse, volumes d’investissement en berne, absorption nette famélique… Classe d’actifs reine des investisseurs, le bureau a connu des jours meilleurs, rapportait l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF) à l’occasion d’une matinée prospective « Entre vents porteurs et vents contraires : quelles perspectives pour l’immobilier ». Face à l’avis de tempête, tous les immeubles et les secteurs tertiaires ne sont cependant pas égaux.

L’IEIF  estime chaque année les rendements de différentes familles de placement sur plusieurs décennies. Dans sa dernière édition (1981-2021), l’immobilier et les actions ressortent une nouvelle fois comme les investissements les plus rentables à long terme, malgré les soubresauts des marchés. La performance annuelle dépasse les 12% sur les 10 dernières années pour les actions ou par exemple les 5% pour les SCPI. Mais attention : il est évidemment impossible de prédire les rendements futurs…

« Le processus de tertiairisation en Île-de-France arrive à son terme. Il y a une nouvelle appétence des salariés pour les zones régionales. Depuis la fin des années 90, l’absorption nette des bureaux (les nouveaux m2 de bureaux occupés) recule.

La salle de 200 places était pleine à craquer. Preuve que le sujet passionne les professionnels venus assister à la conférence « L’immobilier au défi de l’inflation, de la hausse des taux et du changement climatique », organisée par l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF) lors du Salon de l’immobilier d’entreprise (Simi) à Paris le 8 décembre. Le public l’aura compris : cette année, il faut tout changer.