Description
L’IEIF et PwC Strategy& publient la deuxième édition de l’étude de place sur le financement de l’immobilier des professionnels
En 2019, l’IEIF et PwC ont lancé la première étude de place sur le marché français du financement de l’immobilier des professionnels. La France est ainsi devenue le 3e pays à disposer d’une telle étude, après le Royaume-Uni (étude publiée par City University of London depuis plus de 20 ans) et l’Allemagne (étude publiée par l’IREBS, université de Regensburg depuis 8 ans).
L’objectif de cette étude est de suivre, année après année, l’évolution des volumes financés, les typologies de produits et d’acteurs concernés, les localisations géographiques, ainsi que les principaux indicateurs de performance : ratios de covenants, niveaux des marges, etc.
Cette année, en raison du contexte exceptionnel de la crise sanitaire, l’étude comprend deux parties :
- Une première partie dédiée à l’analyse des évolutions entre 2018 et 2019 ;
- Une seconde partie consacrée aux changements intervenus au cours de l’année 2020, réalisée à partir d’entretiens approfondis avec chacun des contributeurs.
Cette deuxième édition a été rendue possible grâce à la participation de 18 contributeurs (11 banques : Banque Palatine, BNP Paribas, BRED Banque Populaire, Crédit Agricole CIB, Dekabank, La Banque Postale, LCL, Natixis, PBB, SOCFIM, Société Générale ; et 7 gestionnaires de fonds de dette et compagnies d’assurance : Acofi Gestion, AEW, Allianz Real Estate, Amundi Asset Management, Aviva Investors, La Banque Postale Asset Management et SCOR Investment Partners) et le soutien de 12 sponsors (Amundi Asset Management, BNP Paribas, CBRE, Catella, Crédit Agricole CIB, CREFC Europe, Fédération des ESH, Fédération des Promoteurs Immobiliers de France, IFPImm, Moody’s Analytics, Natixis, Société Générale).
Grâce à l’apport des nouveaux contributeurs et au dynamisme du marché de l’investissement en 2019, le périmètre a connu une évolution sensible avec un encours global de 75 milliards d’euros et une production 2019 de 26 milliards d’euros, contre respectivement 55 milliards d’euros et 20 milliards d’euros pour la première édition.